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L’Origine du Champagne ELODIE D.

“ Une histoire de vignerons,
devenue une histoire de femmes vigneronnes,
de mère en fille “

J’ai retracé l’histoire de ma famille jusqu’en 1658, année de naissance de Marie Postié, devenue vigneronne et dont les parents étaient vignerons. La lisibilité des écrits dans les archives d’Écueil ne me permettent pas de remonter l’ancienneté viticole antérieurement à cette 12ème génération.
À travers les actes consultés, je peux affirmer que tous mes ancêtres étaient propriétaires de vignes et de terres qu’ils cultivaient, ainsi tous leurs vins puis Champagnes étaient le fruit de leur seule production. Ayant nos propres pressoirs depuis toujours, nous sommes des vignerons indépendants et Récoltants-Manipulants (RM).
J’ai pris le parti de me concentrer uniquement sur une des branches de ma famille car ces 4 siècles unissaient plusieurs familles de notables de la région, des vignerons. Plusieurs de mes aïeux ont d’ailleurs été maires d’Écueil.

* Cliquez sur les photos pour en voir plus.

Voici mon histoire…

17ème siècle

Marie (1658 – 29 novembre 1695) et Jacques (écriture des archives illisible)

Marie Postié et Jacques Le Fèvre, vignerons à Écueil, représentent la première génération jusqu’à laquelle j’ai pour l’instant pu remonter grâce à mes investigations. Ils ont au moins une fille, Marie. 

Malheureusement, Marie Postié meurt à l’âge de 37 ans, laissant sa fille de 3 ans.

18ème siècle

Charlotte et Robert

Charlotte Primault et Robert Le Fèvre sont également vignerons. De leur union, naît une deuxième Marie Le Fèvre.

1813

Sophie (23 septembre 1793 – 16 juin 1872) et Grégoire (1er janvier 1789 – ? )

Sophie (Marie Adélaïde Sophie Grignon) et Grégoire (Grégoire Philippart), tous deux de famille de vignerons, s’unissent à Écueil, le 15 novembre 1813. De leur union, sont nés plusieurs enfants, dont Clémentine qui reprend l’exploitation familiale.

19ème siècle

Aristide (1847 – ?) et Célina (10 mai 1850 – ?)

Aristide (Rose Aristide Coquet) et Célina (Marie Rosalie Célina Dubois)
Aristide, âgé de 28 ans et Célina, âgée de 24 ans, donnent naissance à une fille, Clémentine. 

1943

Hélène (13 décembre 1904 – 13 avril 1987) et Guy (8 avril 1909 – juillet 1953)  

À presque 40 ans, Hélène (Rose Marie Hélène Mongardien) se marie avec un rémois, Guy (Guy Marie Serge Amiaud), en 1943. Ils ont 2 filles, Marie-Christine née aussitôt puis Marie-Françoise 18 mois plus tard. Prisonnier de guerre, Guy déclare la tuberculose et est contraint de s’isoler de sa famille, laissant Hélène gérer seule l’exploitation avec deux jeunes fillettes. Il décède 11 ans seulement après leur union. 

Hélène commercialise ses Champagnes sous la marque devenue Champagne Amiaud-Mongardien. Parallèlement, elle devient courtier en vin de Champagne et diversifie l’activité de ses pressoirs avec un centre de pressurage pour le Champagne Mumm qui recherche les réputés Pinots Noirs d’Écueil. À l’époque, le village d’Écueil ne compte que ses pressoirs et une coopérative.

De ses deux filles, c’est Marie-Christine qui reprend le domaine. L’exploitation se transmet de mère en fille.

Denise Mongardien
(18 octobre 1910 – 9 octobre 2001)

“Tante Denise” est la soeur de la grand-mère d’Élodie. Elle a eu beaucoup d’importance dans sa vie, tant sentimentalement que professionnellement. Élodie l’a connue bien plus longtemps que sa grand-mère et est ainsi devenue sa grand-mère de cœur. 

Avec une grande personnalité et une grande ouverture d’esprit, “Tante Denise” est l’aventurière de la famille. Pendant la Seconde Guerre mondiale, altruiste, elle est infirmière aux côtés de la Croix Rouge française. Par la suite, elle garde des liens amicaux avec des personnes du monde entier. 

Après son mariage avec Jean Devoucoux, elle quitte la propriété d’Écueil et sa famille vigneronne, qu’elle assistait dans les travaux viticoles, comme pour la vendange. Elle s’installe à Autun dans le 71 où elle devient éleveuse de chevaux de course aux côtés de son mari. Ils n’ont pas d’enfant. “Tante Denise” fait le choix très tôt de léguer, à sa mort, sa part de vignes et de terres à celui qui reprendrait l’exploitation. De ce fait, c’est Élodie qui hérite de ce patrimoine viticole et familial. 

2014

Élodie et Fabrice (2 juillet 1976 – )

Séparées ou veuves, les femmes de la famille se retrouvent souvent seules. Élodie se séparant en 2014, elle ne déroge pas à la règle. Mais, elle brise le destin tragique des femmes de la descendance grâce à Fabrice Spreux. Ami d’enfance et d’adolescence de vacances d’Élodie, Fabrice l’a retrouvée un 1er avril. Il change ainsi le sens de sa vie et celui de toute une lignée. Ils se marient le 21 décembre 2019, le jour même des 43 ans d’Élodie. 

En vrai soutien au quotidien, Fabrice, ancien commercial et rugbyman professionnel, se reconvertit pour intégrer le monde du Champagne. Il ouvre, en 2017, Bulles & Bonheur, le bar à Champagne d’ELODIE D. au 73 Avenue de Champagne à Épernay, et La Demeure d’Élodie, un appartement d’hôtes, complété dès l’été 2023, au n°71 de la même adresse, par des chambres et suites, ainsi qu’un spa en cave et un restaurant gastronomique. 

De cette deuxième union, naît Rose en 2017, l’unique fille d’Élodie qui agrandit la fratrie des 3 garçons. Perdurera-t-elle l’histoire de la famille en devenant la prochaine femme à la tête du domaine ?

1692

MARIE (30 MAI 1692 – ? )

Marie Le Fèvre est vigneronne, à la suite de ses parents.

1789

Marie (1767 – ? ) et Jean-Michel (19 septembre 1754 – ? )

Marie Le Fèvre et Jean-Michel Grignon se marient le 5 mai 1789, unissant encore deux familles de vignerons. Jean-Michel décède après une quarantaine d’années de mariage.

1844

Clémentine (22 nov 1824 – 1er mai 1905) et Alexis (1819 – 23 avril 1905)

Clémentine (Marie Clémentine Philippart) et Alexis (Thomas Alexis Clovis Coquet), tous deux enfants de vignerons, font leur première récolte au cours de leur première année de mariage, en 1844. Ils connaissent les noces de platane, 61 ans d’union, d’amour et de travail de la vigne. Parallèlement, Alexis est maire. Cette belle histoire prend fin au décès d’Alexis. Clémentine, éperdument amoureuse, meurt de chagrin 7 jours après la perte de son mari. De cet amour est né un garçon, Aristide.

1893

Clémentine (27 avril 1875 – 1er mai 1958) et Georges (1869 – 5 août 1935)

Clémentine (Marie Alexis Clémentine Coquet) se marie avec Georges (Paul Georges Mongardien) de Sermiers, le 19 novembre 1893. De leur mariage, sont nés 3 filles, Madeleine, Hélène et Denise, et un garçon, Bernard qui deviendra médecin à Versailles. 

Ils commercialisent leurs bouteilles de Champagne sous la marque Champagne Georges Mongardien et Champagne Mongardien-Coquet. Georges est également le maire d’Écueil. Il décède d’une crise cardiaque à Vittel. Brutalement veuve en 1935, Clémentine devient la première femme exploitante de la famille seule à la tête du domaine. Puis, parmi ses 4 enfants, c’est Hélène qui prend la succession. L’exploitation se transmet de mère en fille. 

1969

Marie-Christine (2 novembre 1944 – ) et Jacky (8 décembre 1943 – )

Marie-Christine (Marie-Christine Denise Amiaud) se marie avec Jacky (Jacky Julien Desbordes, informaticien dans le milieu bancaire), le 30 juillet 1967. Ils ont deux filles, Bérengère et Élodie. En 1969, Marie-Christine reprend la carte de Récoltant-Manipulant et de courtier de sa mère Hélène. Par la suite, séparée pendant de nombreuses années, Marie-Christine doit faire face seule à la gestion de cette entreprise familiale. 

C’est Élodie, 11ème génération de la famille, qui succède à Marie-Christine en 1997, à la suite d’études supérieures dans la commercialisation des vins et spiritueux. L’exploitation se transmet de mère en fille.

1997

Élodie (21 décembre 1976 – )

Les 10 générations d’aïeux précédant Élodie se sont tous installés sur le domaine familial d’Écueil, habitant même à plusieurs générations dans la propriété viticole. En se mariant à un vigneron en 2000, Élodie fait le choix de quitter l’habitation d’Écueil pour un autre village viticole, Mareuil-Sur-Aÿ, près d’Épernay, où elle continue la vinification de ses vins (vous connaissez peut-être 2Xoz, devenu sous ELODIE D. la cuvée Résurgence). De cette union naissent 3 garçons : Louis, Paul et Pierre-Marie. 

Après 14 années, unie dans ce mariage, Élodie décide de se séparer.

En 2014, après toutes ces années, unie à une autre maison de Champagne, Élodie se concentre, de nouveau, uniquement sur l’exploitation familiale et fait renaître l’histoire de ses ancêtres de la Montagne de Reims. Ainsi, d’Élodie, redevenue Desbordes, est née ELODIE D., une marque éponyme, reflet de l’esprit féminin de la maison gérée par des femmes depuis 4 générations. 

21ème siècle

Louis (4 septembre 2002 – ), Paul (23 juillet 2005 – ), Pierre-Marie (16 mai 2008 – ) et Rose (10 juillet 2017 – )

Louis et Paul, ayant déjà leur carrière professionnelle toute tracée selon leurs aspirations (un en Design 3D et un en architecture), Pierre-Marie serait plus, lui attiré par la viticulture. Quant à Rose, pourtant très jeune, elle dit déjà vouloir être œnologue, travaillant toujours aux côtés de sa maman en cave, et de son papa avec les clients internationaux Avenue de Champagne.

L’exploitation se transmettra-t-elle de mère en fille ? Une chose est sûre, l’histoire continue…

17ème siècle

Marie (1658 – 29 novembre 1695) et Jacques (écriture des archives illisible)

Marie Postié et Jacques Le Fèvre, vignerons à Écueil, représentent la première génération jusqu’à laquelle j’ai pour l’instant pu remonter grâce à mes investigations. Ils ont au moins une fille, Marie. 

Malheureusement, Marie Postié meurt à l’âge de 37 ans.

1692

MARIE (30 MAI 1692 – ? )

Marie Le Fèvre est vigneronne, à la suite de ses parents.

18ème siècle

Charlotte et Robert

Charlotte Primault et Robert Le Fèvre sont également vignerons. De leur union, naît une deuxième Marie Le Fèvre.

1789

Marie (1767 – ? ) et Jean-Michel (19 septembre 1754 – ? )

Marie Le Fèvre et Jean-Michel Grignon se marient le 5 mai 1789, unissant encore deux familles de vignerons. Jean-Michel décède après une quarantaine d’années de mariage.

1813

Sophie (23 septembre 1793 – 16 juin 1872) et Grégoire (1er janvier 1789 – ? )

Sophie (Marie Adélaïde Sophie Grignon) et Grégoire (Grégoire Philippart), tous deux de famille de vignerons, s’unissent à Écueil, le 15 novembre 1813. De leur union, sont nés plusieurs enfants, dont Clémentine qui reprend l’exploitation familiale.

1844

Clémentine (22 nov 1824 – 1er mai 1905) et Alexis (1819 – 23 avril 1905)

Clémentine (Marie Clémentine Philippart) et Alexis (Thomas Alexis Clovis Coquet), tous deux enfants de vignerons, font leur première récolte au cours de leur première année de mariage, en 1844. Ils connaissent les noces de platane, 61 ans d’union, d’amour et de travail de la vigne. Parallèlement, Alexis est maire. Cette belle histoire prend fin au décès d’Alexis. Clémentine, éperdument amoureuse, meurt de chagrin 7 jours après la perte de son mari. De cet amour est né un garçon, Aristide.

19ème siècle

Aristide (1847 – ?) et Célina (10 mai 1850 – ?)

Aristide (Rose Aristide Coquet) et Célina (Marie Rosalie Célina Dubois)
Aristide, âgé de 28 ans et Célina, âgée de 24 ans, donnent naissance à une fille, Clémentine. 

1893

Clémentine (27 avril 1875 – 1er mai 1958) et Georges (1869 – 5 août 1935)

Clémentine (Marie Alexis Clémentine Coquet) se marie avec Georges (Paul Georges Mongardien) de Sermiers, le 19 novembre 1893. De leur mariage, sont nés 3 filles, Madeleine, Hélène et Denise, et un garçon, Bernard qui deviendra médecin à Versailles. 

Ils commercialisent leurs bouteilles de Champagne sous la marque Champagne Georges Mongardien et Champagne Mongardien-Coquet. Georges est également le maire d’Écueil. Il décède d’une crise cardiaque à Vittel. Brutalement veuve en 1935, Clémentine devient la première femme exploitante de la famille seule à la tête du domaine. Puis, parmi ses 4 enfants, c’est Hélène qui prend la succession. L’exploitation se transmet de mère en fille. 

1943

Hélène (13 décembre 1904 – 13 avril 1987) et Guy (8 avril 1909 – juillet 1953)  

À presque 40 ans, Hélène (Rose Marie Hélène Mongardien) se marie avec un rémois, Guy (Guy Marie Serge Amiaud), en 1943. Ils ont 2 filles, Marie-Christine née aussitôt puis Marie-Françoise 18 mois plus tard. Prisonnier de guerre, Guy déclare la tuberculose et est contraint de s’isoler de sa famille, laissant Hélène gérer seule l’exploitation avec deux jeunes fillettes. Il décède 11 ans seulement après leur union. 

Hélène commercialise ses Champagnes sous la marque devenue Champagne Amiaud-Mongardien. Parallèlement, elle devient courtier en vin de Champagne et diversifie l’activité de ses pressoirs avec un centre de pressurage pour le Champagne Mumm qui recherche les réputés Pinots Noirs d’Écueil. À l’époque, le village d’Écueil ne compte que ses pressoirs et une coopérative.

De ses deux filles, c’est Marie-Christine qui reprend le domaine. L’exploitation se transmet de mère en fille.

Denise Mongardien
(18 octobre 1910 – 9 octobre 2001)

“Tante Denise” est la soeur de la grand-mère d’Élodie. Elle a eu beaucoup d’importance dans sa vie, tant sentimentalement que professionnellement. Élodie l’a connue bien plus longtemps que sa grand-mère et est ainsi devenue sa grand-mère de cœur. 

Avec une grande personnalité et une grande ouverture d’esprit, “Tante Denise” est l’aventurière de la famille. Pendant la Seconde Guerre mondiale, altruiste, elle est infirmière aux côtés de la Croix Rouge française. Par la suite, elle garde des liens amicaux avec des personnes du monde entier. 

Après son mariage avec Jean Devoucoux, elle quitte la propriété d’Écueil et sa famille vigneronne, qu’elle assistait dans les travaux viticoles, comme pour la vendange. Elle s’installe à Autun dans le 71 où elle devient éleveuse de chevaux de course aux côtés de son mari. Ils n’ont pas d’enfant. “Tante Denise” fait le choix très tôt de léguer, à sa mort, sa part de vignes et de terres à celui qui reprendrait l’exploitation. De ce fait, c’est Élodie qui hérite de ce patrimoine viticole et familial. 

1969

1969 : Marie-Christine (2 novembre 1944 – ) et Jacky (8 décembre 1943 – )

Marie-Christine (Marie-Christine Denise Amiaud) se marie avec Jacky (Jacky Julien Desbordes, informaticien dans le milieu bancaire), le 30 juillet 1967. Ils ont deux filles, Bérengère et Élodie. En 1969, Marie-Christine reprend la carte de Récoltant-Manipulant et de courtier de sa mère Hélène. Par la suite, séparée pendant de nombreuses années, Marie-Christine doit faire face seule à la gestion de cette entreprise familiale. 

C’est Élodie, 11ème génération de la famille, qui succède à Marie-Christine en 1997, à la suite d’études supérieures dans la commercialisation des vins et spiritueux. L’exploitation se transmet de mère en fille.

1997

Élodie (21 décembre 1976 – )

Les 10 générations d’aïeux précédant Élodie se sont tous installés sur le domaine familial d’Écueil, habitant même à plusieurs générations dans la propriété viticole. En se mariant à un vigneron en 2000, Élodie fait le choix de quitter l’habitation d’Écueil pour un autre village viticole, Mareuil-Sur-Aÿ, près d’Épernay, où elle continue la vinification de ses vins (vous connaissez peut-être 2Xoz, devenu sous ELODIE D. la cuvée Résurgence). De cette union naissent 3 garçons : Louis, Paul et Pierre-Marie. 

Après 14 années, unie dans ce mariage, Élodie décide de se séparer.

En 2014, après toutes ces années, unie à une autre maison de Champagne, Élodie se concentre, de nouveau, uniquement sur l’exploitation familiale et fait renaître l’histoire de ses ancêtres de la Montagne de Reims. Ainsi, d’Élodie, redevenue Desbordes, est née ELODIE D., une marque éponyme, reflet de l’esprit féminin de la maison gérée par des femmes depuis 4 générations. 

2014

Élodie et Fabrice (2 juillet 1976 – )

Séparées ou veuves, les femmes de la famille se retrouvent souvent seules. Élodie se séparant en 2014, elle ne déroge pas à la règle. Mais, elle brise le destin tragique des femmes de la descendance grâce à Fabrice Spreux. Ami d’enfance et d’adolescence de vacances d’Élodie, Fabrice l’a retrouvée un 1er avril. Il change ainsi le sens de sa vie et celui de toute une lignée. Ils se marient le 21 décembre 2019, le jour même des 43 ans d’Élodie. 

En vrai soutien au quotidien, Fabrice, ancien commercial et rugbyman professionnel, se reconvertit pour intégrer le monde du Champagne. Il ouvre, en 2017, Bulles & Bonheur, le bar à Champagne d’ELODIE D. au 73 Avenue de Champagne à Épernay, et La Demeure d’Élodie, un appartement d’hôtes, complété dès l’été 2023, au n°71 de la même adresse, par des chambres et suites, ainsi qu’un spa en cave. 

De cette deuxième union, naît Rose en 2017, l’unique fille d’Élodie qui agrandit la fratrie des 3 garçons. Perdurera-t-elle l’histoire de la famille en devenant la prochaine femme à la tête du domaine ?

21ème siècle

Louis (4 septembre 2002 – ), Paul (23 juillet 2005 – ), Pierre-Marie (16 mai 2008 – ) et Rose (10 juillet 2017 – )

Louis et Paul, ayant déjà leur carrière professionnelle toute tracée selon leurs aspirations (un en Design 3D et un en architecture), Pierre-Marie serait plus, lui attiré par la viticulture. Quant à Rose, pourtant très jeune, elle dit déjà vouloir être œnologue, travaillant toujours aux côtés de sa maman en cave, et de son papa avec les clients internationaux Avenue de Champagne.

L’exploitation se transmettra-t-elle de mère en fille ? Une chose est sûre, l’histoire continue…